ARCHEOLOGIE ET ISLAM

 

L’imposture de Mahomet et de l’islam prouvée par l’archéologie

 

http://resistancerepublicaine.eu/

 

Bonne nouvelle pour 2018 : l’imposture de Mahomet et de l’islam prouvée par l’archéologie

 

1 Déc 2017Jean LafitteIslam, Liberté d'expression, Textes fondamentaux sur l'Islam

 

L’image tragique de l’abandon du cadavre du Prophète par ses amis les plus proches, qui, plus tard, s’imposeront comme ses successeurs au nom de cette relation privilégiée avec lui, figure chez les auteurs musulmans les plus orthodoxes ; cette image funeste hanterait encore l’inconscient collectif des musulmans. Elle est, en effet, aux antipodes de l’adoration exacerbée dont le Prophète fait de nos jours l’objet. Sans doute la première génération des musulmans ne considérait-elle pas Muhammad comme un personnage sacré ; lui-même a revendiqué de n’être qu’un mortel parmi les mortels, comme le lui ordonne Allah dans le Coran : « Dis : Je ne suis qu’un mortel semblable à vous » (18:110). Aujourd’hui, l’adoration des musulmans pour leur Prophète est poussée à un tel paroxysme qu’une véritable obsession du blasphème entoure le personnage. La vénération dont il est aujourd’hui auréolé l’a en quelque sorte fossilisée.

Extrait du Prologue de Les derniers jours de Muhammad, par Héla Ouardi

Je vous propose ci-dessous  l’excellent article de mon ami Alexis, un vrai feu d’artifice pour éclairer notre ciel embrumé par tous les mensonges de l’islam et de tous ses alliés, conscients ou non, fussent-ils porteurs d’une mitre ou de la tiare… Mais Judas n’était-il pas un apôtre de Jésus ? Du moins je prie Dieu pour qu’il les éclaire assez tôt pour leur éviter le suicide du désespoir, au vu des dégâts qu’ils auront provoqués.

Mais je reviens à l’article d’Alexis. J’ai déjà pas mal travaillé le sujet, d’abord avec le livre de Hela Ouardi publié en 2016.

Voir aussi l’article que lui a consacré Mireille Valette :

http ://boulevarddelislamisme.blog.tdg.ch/archive/2016/05/13/loin-du-dogme-un-livre-decoiffant-autopsie-la-mort-de-mahome-276121.html

Bien qu’étonnamment Hela Ouardi ne les mentionne pas en bibliogtaphie, son livre a été précédé en 2014 par la thèse de Jean-Jacques Walter très bien présentée sur Riposte laïque

https://ripostelaique.com/lautopsie-du-coran-par-jean-jacques-walter.html,

 puis en 2015 par Le grand secret de l’Islam d’Oscar Lafontaine dit Olaf, librement téléchargeable

 http://legrandsecretdelislam.com.

J’espère que tout cela pourra être utile à R.R. et à ses fidèles.

 

Une réécriture qui s’impose.

 

Je pense que nous sommes nombreux, parmi les chrétiens intègres, qui avons lu le Coran mieux que le Pape, mieux que les évêques « de progrès », et mieux que la crapule politicienne qui règne sur notre pays.

Nous n’y avons pas trouvé comme eux un message de Paix et d’amour ! Mais c’est encore mieux de connaître quelques détails de la vie de Mahomet pour comprendre ce que fut en réalité le Livre, et quelles méthodes l’inspira. Par exemple, lorsque les Bédouins Urayna eurent volé son troupeau, le prophète leur fit couper les pieds et les mains, crever les yeux, et exposer en plein soleil afin d’augmenter les affres de leur agonie. Mais il n’est pas dit que dans le cas, ce fut l’archange Gabriel l’inspirateur ! (voir liens (1) (2)

Ces détails, et d’autres témoignages aussi probants de la miséricorde d’Allah, sont rapportés dans l’ouvrage : « Les derniers jours de Muhamad », que vient de publier Madame Héla Ouardi, universitaire Tunisienne , dont les éléments de recherche paraissent considérables. Sans porter le moindre jugement sur l’inspiration que disait avoir le « Prophète », l’ouvrage le ramène à la dimension d’un homme assez talentueux pour fabriquer son message suivant les nécessités de l’instant avec un sens certain de la formule. Mais ce que souligne spécialement notre auteur, c’est que Mohamet ne fut point l’impavide conquérant que veut la légende, et ses défaites contre les Byzantins furent cuisantes. Il ne se voulut prophète que pour un proche avenir qu’il voyait apocalyptique, et l’ouvrage cite à l’appui cette parole de Mahomet avant sa mort : « Par celui qui tient mon âme en sa main, la descente de Jésus (Îssa) fils de Marie, est imminente ! ». C’est dire qu’il n’avait nullement prévu l’expansion que ses héritiers allaient donner à l’Islam.

Cette croyance d’une proche apocalypse avait été celle des apôtres après la résurrection de Jésus. Mais alors que l’Église jusqu’à Constantin allait s’étendre par le sang de ses martyrs, c’est uniquement par le cimeterre que les Califes prétendirent poursuivre l’œuvre de Mahomet. Et ce qui donne la mesure de ce que fut l’Islamisme, — une sanglante compétition pour le pouvoir ! — c’est que sur les 4 premiers califes, 3 devaient être assassinés par leurs compétiteurs !

L’islamisme contemporain tient son audience du projet matérialiste des sectes Occidentales, qui ont fait de la lutte contre le Christianisme leur premier objectif. Dans ce projet, l’Islam a été pensé par la maçonnerie comme un outil susceptible d’arrêter l’expansion missionnaire de l’Église. Et que l’objectif Maçonnique se soit trouvé exactement conjoint avec l’impérialisme financier des Yankees donne la clé du désordre actuel, que les brutales initiatives du président Américain ne peuvent qu’aggraver !

S’il existe quelques sursauts de bon sens national dans les états Européens de l’Est, il n’existe pas un gouvernement en Europe Occidentale et Scandinave, qui ne soit complice du plan d’invasion qui devrait anéantir la particularité du vieux continent. Et le Vatican vient d’ajouter une touche suicidaire à la situation, en osant comparer le déplacement prévu par la loi de Marie et Joseph vers Bethléem, à l’installation sans retour sur notre sol d’une masse considérable d’étrangers, dont beaucoup se sont refusés à exposer leur vie, pour défendre leur patrie ! Évoquant la population Française de son époque, Anatole France disait : « Si 40 millions de Français disent une bêtise, c’est quand même une bêtise ! ». Moi je ne pense pas qu’il soit hérétique de penser que quand le Pape dit une bêtise c’est quand même une bêtise !

L’Islam a cependant toujours été un monde divisé par les prétentions de ses potentats, mais ces divisions ne remettaient pas en cause l’idéal islamique de domination, par le pillage, l’esclavage et la sujétion des femmes. Aujourd’hui, les quelques lignes de rupture qui apparaissent sont différentes et traduisent le souci de sortir d’un dogmatisme totalement obsolète. Ainsi par exemple, certains intellectuels arabes de qualité, comme le Marocain Reda Benkirane, sociologue et chercheur à l’Institut des hautes Études, soutient une promotion religieuse qui passerait par l’ouverture sur les sciences (ce qui me paraît incompatible avec la Charia). Mais le débat lui-même ne peut provoquer qu’un choc salutaire parmi des croyants, dont quantité, encore soumis à une certaine habitude plus qu’à la conviction, refusent, en esprit, les criminelles directives du livre. Et de plus en plus nombreux sont les musulmans qui, de mon ami Farid Smahi à Salem ben Amar, sont en état de réflexion et même d’indignation. On peut par ailleurs se rendre compte qu’ayant accédé à des études convenables, quantité de femmes Arabes osent revendiquer leur liberté avec un très grand courage. À mon sens, mais, évidemment, c’est un Chrétien qui croit aux « signes » qui écrit, ce n’est point par hasard que Notre-Dame voulut apparaître au lieu de Fatima, nom évocateur s’il en est !

De fait, si un certain nombre de musulmans répugnent à la violence Islamique, leurs sentiments aujourd’hui peuvent trouver des arguments dans une histoire mieux connue. Héla Ouardi écrit : 

« Il n’existe pas le moindre document, la moindre trace concrète qui soit contemporaine de l’époque du Prophète. »

C’est dire que les légendes qui vont entourer la figure de Mahomet vont se soumettre à la nécessité qu’auront les Califes de légitimer leurs fantaisies par de nouvelles sourates. C’est ainsi que le visage du prophète sera multiple. Tantôt, on le présentera sous les traits d’un père de famille , bon, modeste et affectueux, ou bien sous celui d’un potentat féroce, faisant par exemple torturer à mort le Juif Kinana pour l’obliger à révéler la cache de ses richesses, exterminant des tribus entières avec le seul argument de « l’ôte-toi que je m’y mette ! », trouvant des arguments coraniques pour justifier sa copulation avec la femme de son fils adoptif, et autres joyeuseté du genre. C’est à ce point qu’il existe aussi une tendance « radicale », qui devant une telle confusion, en arrive à douter de l’existence même du Prophète !

Mais il est probablement une étape qui pourrait être radicale pour expliquer l’islam, et dont nous n’avons que de très faibles indices. Ce serait l’influence qu’aurait eu sur la première femme de Mahomet, la riche Khadîja, le Moine Nestorien Bahira. Or c’était l’époque où Mahomet n’avait pas encore été « enseigné par l’archange Gabriel ». Il est possible que l’hérésie Nestorienne, qui refusait à Marie le titre de « Mère de Dieu », se soit traduite dans l’esprit de Mahomet comme la négation de la divinité du Christ ! Mais nous n’en savons rien.

Au dernier chapitre de son ouvrage, après avoir démontré que les relations très contradictoires sur le prophète mort intestat (qui n'a pas fait de testament) prouvaient bien que l’islam s’était beaucoup plus constitué sur la volonté de pouvoir des Califes, que sur un texte formel, Héla Ouardi peut écrire :

 « Les découvertes épigraphiques sont sur le point de bouleverser notre approche de l’histoire et de l’islam, non seulement s’agissant de la perception que les premières générations musulmanes avaient du prophète, mais aussi par ce qui est des principes fondateurs de la religion comme la Shabadâ, dont on a trouvé des formules antérieures différentes de celles que nous connaissons aujourd’hui.

Les fouilles archéologiques, ainsi que l’étude des documents non musulmans contemporains de l’avènement de l’islam sont en train d’introduire actuellement une véritable « révolution Copernicienne », dans la connaissance de l’islam primitif. Une réécriture de l’histoire est en marche ! »

Il est possible que cette réécriture soit plus rapide que celle que nous pensions pouvoir espérer. C’est pour cela que dans cette perspective 2018 pourrait être une très bonne année pour ceux qui n’ont pas accepté la bestialisation contemporaine. À noter qu’un groupe d’anciens musulmans convertis au christianisme vient d’adresser au Pape la lettre protestataire qu’il méritait. Pour les seuls amis qui me restent, dans cette optique, je ne ferai pas d’autres vœux de résistance aux castrats démocratiques, car l’évolution est réelle, et elle me paraît s’inscrire dans la promesse formelle de l’apôtre « La vérité vous délivrera ! »

Moi qui ai connu les prisons du Régime, et qui en suis fier, je vous assure que c’est important !

Alexis Arette 

30 décembre 2017

(1) http://www.torah-injil-jesus.com/pages/les-banu-quraydha.html

(2 ) http://www.torah-injil-jesus.com/pages/safiya-l-epouse-juive-de-muhammad.html

 

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