L'ISLAM LE CULTE DE LA PIERRE
LوIslam : le culte de la pierre
Voici un article très intéressant sur les Origines de lوislam : ses racines païennes matriarcales - Aujourdوhui
encore, les fouilles archéologiques sont quasi-interdites en Arabie Saoudite, à croire que cela en dérangerait
certains.
Lوarrivée du patriarcat en Arabie par le site matricien
Le patriarcat sوest installé progressivement par la guerre à partir du IVème millénaire avant Jésus-Christ. Les
anciennes déesses matriarcales ont été conquises et assimilées par les nouveaux dieux patriarcaux (Olympiens,
Aesirs nordiquesق) originaires du moyen orient (Sumer). Il a dû en être de même avec les divinités
matriarcales arabes (Allat, Uzza, Manat), conquises et assimilées par les nouveaux dieux conquérants
(Hu-Baal), probablement originaires de Babylone. Dوaprès les différents types de mariages arabes
pré-islamiques, la patriarcalisation de lوArabie a commencé bien avant lوislam.
Jérusalem, première direction de la prière islamique
La Mecque était le sanctuaire pré-islamique le plus important de toute la péninsule arabique. A lوorigine, la
ville nوétait pas au centre de la religion musulmane, les croyants se tournant vers Jérusalem. La direction de
la prière (la kiblah) répond à des règles très strictes énoncées par Mohammed dans le Coran. Au début, la
kiblah correspond à la direction de Jérusalem (s.2, v.36), pour satisfaire les convertis dوorigine juive ou
chrétienne. Puis, afin dوasseoir définitivement son autorité tout en contentant la masse des nouveaux fidèles
dوorigine païenne, la kiblah se tourne vers la Mecque, haut lieu millénaire païen. La vénération de la pierre
fut une occasion pour Mohammed de ramener vers lui les païens.
Les 3 déesses de La Mecque : sourate 53 ā An-Nadjim ā versets 19-20
A la Mecque (مكة), avant lوIslam, la tribu des Quraïch (قريش) adoraient une triade de trois divinités
féminines, il sوagit dوAllat (اللآت), al-وUzza (العُزة) et Manat (مناة), ils citaient leurs noms au cours
de leurs tournées (الطواف) autour du Kaوba (الكعبة). Selon Ibn al-Kalbi, les Quraysh avaient coutume de
faire le tour de la Kaوaba en disant : بAu nom dوAllat, dو Uzza, et de Manat la troisième idole. Elles sont
réellement les بal-gharānīqب (femmes de condition supérieure ) Dont il faut demander lوintercession.ب
Comme aujourdوhui, les pèlerins se rasaient la tête.
Hubal, le nouveau dieu-père des déesses
Alors que pour les Nabatéens (Pétra en Jordanie), Allat était la mère de tous les dieux, pour les autres Arabes,
Allat, al-وUzza et Manat étaient les filles dوAllah (الله جل جلاله), et étaient les intermédiaires entre Dieu
et les hommes pour obtenir ses bénédictions. Allah (le-dieu) est le titre du dieu lunaire Sîn-Hubal (Baal),
pièce rapportée tardivement de Mésopotamie dans le panthéon arabe, quوil domina par la suite à La Mecque.
De ce dieu, très peu de temples, de représentations, et de traces écrites nous sont parvenues jusquوà
aujourdوhui. Le terme Allah est antérieur à lوislam puisque le père de Mahomet sوappelle lui-même
AbdوAllah, cوest à dire, بle serviteur du dieuب.
La Kaaba, temple de la déesse Allat
Kaوaba signifierait cube en arabe, mais la Kaوaba elle-même serait lوancienne فKaabouب, du mot grec qui
signifie طjeune filleو, et désigne la déesse Astarté, cوest-à-dire Aphrodite dans la mythologie grecque qui
correspond à la Vénus Romaine et lوal-وUzza (العزى) des Arabes considérée comme la déesse de la
fertilité. Les anciens chroniqueurs rapportent quوavant lوavènement de lوislam (jahilya, lوère de
lوignorance), il y avait 24 kaوbas dans la péninsule arabique, mais celle de La Mecque était vénérée par
toutes les tribus. Selon des recherches saoudiennes, il existait dans la région de nombreuses Kaوbas
(tawaghit) consacrées chacune à une divinité, auxquelles les fidèles se rendaient certains jours déterminés
pour procéder à des rites comprenant entre autres une déambulation circulaire et des sacrifices. Les plus
importants semblent avoir été les kaوabas des déesses Allat à Taif, dوUzza à Nakhlah et de Manat près de
Qudayd.
Les prêtresses dوAllat
A ce jour, les hommes qui gardent la Kaaba sont encore appelés بfils de lوAncienne Femmeب,بfils de Sabaب,
en arabe بBeni Shaybahب. La déesse Allat avait un surnom, ou un titre supplémentaire, Saba prononcé
Shaybah, signifiant sage-femme, ou, فCelle de lوancienne sagesseب. Avant lوIslam, les gardiens du
Sanctuaire étaient des prêtresses appelées بBathi-Shebaب,بfilles de lوAncienne Sage Femmeب. Bethsabée,
بfille de Sabaب signifie, ططprêtresse de la maison de Sabaب. Les musulmans ont gardé ce sanctuaire cubique,
et marchent encore autour, tout comme on le faisait à lوépoque où on vénérait la Déesse.
Ramadan, la grossesse dوAllat ?
Le calendrier musulman ou calendrier hégirien (hijri) est un calendrier lunaire, basé sur une année de 12 mois
lunaires de 29 à 30 jours chacun (pour être précis : 29,53059 jours solaires). Une année hégirienne est donc
plus courte quوune année grégorienne dوenviron onze jours. Les païens ont souvent fait le rapprochement
entre les cycles lunaires et les cycles menstruels féminins, de durée similaire.
Ramadan également orthographié ramadhan ou ramazan, (arabe : رَمَضَان ou Rama ān) est le neuvième
mois du calendrier musulman. Au cours de ce mois, les musulmans adultes ne mangent pas, ne boivent pas, et
nوentretiennent pas de relations sexuelles tant que la lune nوest pas visible. Le début du mois est basé sur
lوobservation du premier croissant visible après la nouvelle lune.
Est-il possible que le 9ème mois de Ramadan corresponde au 9ème mois de la grossesse de la déesse-mère
Allat ? La fête de fin du Ramadan célébrerait alors lوaccouchement de la déesse. Pendant le jeûne, il ne serait
alors possible de manger et copuler quوen présence de la lune, cوest-à-dire dوAllat.
Le culte des pierres
Vénérer une pierre est typiquement païen. On appelle ces pierres divines béthyle (de lوhébreu béthel بpierre
sacréeب), et est une pratique polythéiste classique de lوantiquité. La pierre de la Kaaba nوéchappe pas à cette
règle. Cette pierre faisait en effet lوobjet de vénération pré-islamique. Le culte pré-islamique des pierres peut
être rapproché à des cultes lithiques des bétyles qui furent répandus dans tout le Proche Orient dès la plus
haute antiquité. En effet ce culte rendu à une pierre nوest pas isolé dans lوAntiquité : on peut citer la pierre
noire dوÉmèse dont Héliogabale fut le grand-prêtre avant de devenir empereur romain, la pierre noire de
Dusares à Petra, et cوest sous la forme dوun bétyle quوen 204 avant J-C que Cybèle, la déesse-mère
phrygienne de Pessinonte, fait son entrée à Rome. Dans de nombreuses cités orientales, des pierres sacrées
sont lوobjet de la vénération des fidèles, telles lوArtémis de Sardes ou lوAstarté de Paphos. En Arabie ce
nوétait pas une exception car le culte des pierres était omniprésent dans la société pré-islamique. Par exemple
la فpierre rougeب était la divinité de la ville arabe au sud de Ghaiman, ou la بpierre blancheب dans la Kaaba
dوal-Abalat (près de la ville de Tabala, au sud de La Mecque).
La pierre noire, vulve dوAllat ?
Beaucoup dوoccidentaux, surtout des sages-femmes, ont observé que lوécrin de la pierre noire, à lوangle de
la Kaaba, a une forme de vulve, avec une tête de bébé qui en sort. Le mot Hajj (pèlerinage islamique à La
Mecque) est dérivé de «Hack» qui veut dire friction en langue Arabe car il y avait un rituel païen dans lequel
les femmes frictionnaient leur partie génitale sur la pierre noire espérant ainsi augmenter leur
fertilité.(Dr.Jawad Ali dans son livre «Lوhistoire des arabes avant lوIslam» partie 5,page 223). Elles
enduisaient la pierre avec le sang des menstrues et tournaient nues tout autour.
Une survivance de culte phallique à La Mecque ?
La Lapidation de Satan (arabe : رمي الجمرات, Ramy al-Jamarat signifiant « lancer [de pierre] sur les cibles
[piliers] ») est une cérémonie pratiquée par les musulmans lors de leur pèlerinage ( Hajj ), au cours de laquelle
ils jettent des pierres, quوils auront collectées durant une phase antérieure du pèlerinage, sur trois rochers qui
symbolisent le diable. Ce rite sوeffectue le 3e jour du pèlerinage à Mina en Arabie saoudite, à 5 km à lوest de
La Mecque. Les trois piliers de pierre (un petit, un moyen et un grand) furent remplacés par les autorités
saoudiennes en 2006 par trois murs de pierre, pour prévenir les accidents. Si lوécrin de la Pierre Noire de la
Kaaba fait irrémédiablement penser à un vagin, les 3 piliers semblent représenter des phallus, ce qui
confirmerait que La Mecque ait été un sanctuaire païen dédié à des cultes de fertilité.
Shiva (hindouisme), culte phallique pré-aryen : des vestiges dans lوislam ?
Les piliers de Jamarat
Le soufisme un culte matriarcal pré-islamique ?
Selon certains auteurs, les soufis auraient essayé de maintenir le culte de Fatima, mais ils auraient été forcés
de le cacher derrière des mots codés, depuis que le soufisme fait partie de lوIslam. En effet, vénérer le féminin
sacré est passible de peine de mort, aujourdوhui encore dans les pays islamiques.
Les racines juives de lوislam
Les usages islamiques (viande sacrifiée halal, interdit du porc, circoncision, voile, lapidation, tabou des
menstruesق) semblent totalement incompatibles avec une société arabe païenne semi-matriarcale adorant des
déesses-mères, et semblent donc dوorigine juive.
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