LE SACRE-COEUR (2)

LE SACRE-COEUR (2)

Claire de Jésus Crucifié

 Cette lettre avait été remise, le 16 janvier au Président Poincaré par son secrétaire M. Sainsère.

Dès le 18, Notre-Seigneur révéla à Claire ce qui suit :

« Avant-hier, Jésus me représenta (le Président) avec une certaine colère sur son visage. Je le voyais irrité..., mais heureusement le Président cédait à ses impressions, seul avec lui-même. Je l’ai vu peu à peu se radoucir, puis il rentra en lui-même et il relit ma lettre. Il se cache le visage dans ses mains. Il soupire, il regarde le portrait de sa mère, il la prie, il dit : « Mon Dieu ! » et il pleure. Le Ciel le regarde. Ah ! le Ciel en face de sa personne ! Rien ne peut résister devant la puissance divine ! Le Président voudrait me voir, m’entendre, mais il n’ose confier ce désir. L’orgueil est là, mais la grâce fait son œuvre petit à petit. Jésus veut arriver à son but. »

Une deuxième lettre fut écrite par Claire au Président, et remise au député de Baudry d’Asson. On pense que cette lettre ne fut pas remise au Président Poincaré mais commentée verbalement.

Quoi qu’il en soit, c’est un fait que le Président Poincaré, impressionné et troublé par les faits et les précisions personnelles contenues dans ces messages, recevait Claire Ferchaud à l’Élysée le 21 mars.

Voici le compte-rendu de cette visite, tel qu’il fut rédigé par Claire elle-même :

Je commence en disant : « Je vous demande bien pardon, Monsieur le Président, de vous déranger ». Sitôt, il reprend : « Mais je suis content de vous recevoir. C’est le député M. de Baudry d’Asson qui m’avait demandé l’audience ». Aussitôt je lui dis : « Me permettez-vous, M. le Président, de vous exposer le but qui m’amène ici ? » Il fit un petit signe de tête et dit : « Faites-le, je vous écoute ».

Je continue : « Vous souvenez-vous d’une lettre que je me suis permise de vous écrire et que vous avez dû recevoir il y a quelques semaines ? »

Il me répond : « Je l’ai bien reçue ».

Alors je continue : « Eh bien ! c’est le même sujet qui me ramène aujourd’hui, et c’est Dieu qui m’envoie pour vous faire connaitre ses volontés, à vous, M. le Président. Le Sacré-Cœur s’adresse à vous. Il veut que la France officielle reconnaisse Dieu pour Maître, et il veut pour nos temps actuels, que son Cœur soit peint sur nos couleurs nationales, et c’est du Chef d’État qu’il attend cet hommage ».

Le Président m’écoutait attentivement ; il dit : « Oui, mais moi je ne peux pas le faire. Les lois qui ont été votées, je ne peux pas les refaire, à moins que la Chambre change, et je ne le crois pas ».

Alors je lui dis : « Eh bien ! pourquoi ne leur feriez-vous pas vous-même ma proposition ? Vous êtes le Chef de tout, et Dieu attend de vous cet acte pour vous en bénir ».

Alors je le vois un peu embarrassé, et il me dit : « Mais on ne peut pas défaire des lois qui ont été faites, et on ne peut pas modifier quoi que ce soit sur le drapeau national ».

Je lui dis : « Monsieur le Président, il n’y a aucune modification à mettre un emblème religieux sur l’étendard français, puisque c’est le désir de Dieu, et je vous dis de sa part que la France ne sera sauvée que par le règne de son Cœur, et ce règne, Il le veut solidement établi dans la France officielle ».

Le Président dit : « Pourquoi ce signe et non pas un autre » ?

Alors je lui représente nos gloires d’autrefois par l’intervention divine, puis je lui mets devant les yeux le signe de la Croix qui illumina l’empereur Constantin, et maintenant c’est un nouveau signe qui est le Sacré-Cœur. J’ajoutais que la guerre ne se terminerait que lorsque le Sacré-Cœur serait peint sur nos drapeaux.

Alors il me dit : « Mais dans les guerres passées, il y a eu bien des victoires sans que le Sacré-Cœur soit ainsi sur les drapeaux ».

Alors je réponds : « Dieu intervient à son heure, et Il a réservé à nos temps actuels l’honneur d’être gravé sur nos drapeaux par la France convertie... ». Alors, poussée par une inspiration, je continuais : « Dieu n’a plus de place en France, la religion est persécutée, on ne veut plus d’emblèmes religieux ».

- Mais si vous portez bien la Croix, vous, personne ne vous en empêche.

- On défend à nos soldats de porter ostensiblement le fanion du Sacré-Cœur, pourquoi ne pas leur laisser la liberté ?

- L’uniforme doit rester net, et si on permet aux catholiques de le porter, il y a des protestants qui, eux aussi, mettront des images à leur façon ; d’ailleurs il y a des soldats dans les hôpitaux qui ont le Sacré-Cœur sur eux, personne ne les en empêche.

- Oh ! M. le Président, ils ont été combattus ; ceux qui portent le Sacré-Cœur l’ont sous leurs capotes, et le Gouvernement a défendu de le faire paraître... Pourquoi persécuter la religion ? Dieu est le Maître. Il aime la France, la France ne périra pas malgré toutes les oppositions.

- Mais croyez bien que nous ne défendons pas de prier, nous laissons libres. Beaucoup de personnes prient pour la France, c’est très bien.

Et il ajoute : « il s’est dit des messes pour nos morts de la guerre ; j’y ai assisté, et quand je ne peux y aller moi-même, je me fais remplacer. Nous n’avons jamais empêché les messes de se dire ».                    

J’ai répondu : « Bien, je vous félicite, Dieu vous aime, mais Il veut encore plus, et c’est à vous qu’Il s’adresse, c’est de vous que Dieu demande l’acte officiel permettant que le Sacré-Cœur soit peint sur le drapeau national ».

Le Président reprend : « Mais je ne peux pas ; je dois pour cela soumettre le cas à la Chambre, mais ce sera rejeté ».

Je lui réponds : « Eh bien ! soumettez le projet ».

Le Président fait silence, il semble réfléchir ; puis il dit : « Je ne crois pas que l’on vous écoute ».

- Eh bien, vous pouvez essayer, puisque c’est le désir de Dieu.

- Eh bien, soit ! J’ai retenu tout ce que vous m’avez dit, je vais le soumettre à la Chambre.

Puis le Président change de conversation et il dit : « Il y a longtemps que vous avez des révélations ? »

- M. le Président, à ce sujet, permettez-moi de vous montrer ici une image faite sur le modèle du Sacré-Cœur où Il se révèle actuellement. Voici comment Il se montre à la France.

Le Président prend ses lorgnons et il dit : « Montrez ! »

 Sacre coeur de jesus

CŒUR SACRÉ DE JÉSUS, 

BROYÉ À CAUSE DE NOS PÉCHÉS

AYEZ PITIÉ DE NOUS

 

Je déploie l’image, je l’étends sur son bureau. Le Président la tient au bas, il la regarde et il lit l’inscription. Je lui explique pourquoi ce sang aux pieds, aux mains, et ce Cœur meurtri. Je lui fis voir la blessure profonde du Cœur de Jésus, faite par la France officielle et j’ajoute : « M. le Président, cette blessure ne sera refermée que lorsque vous aurez accompli les desseins du Sacré-Cœur ».

Le Président ne dit rien pendant qu’il regarde l’image... II veut la recouvrir du papier qui était à côté. J’allais la rouler, lorsqu’une force me pousse à enlever le papier une seconde fois, et je lui dis : « Regardez-la bien et priez-la si vous avez le courage ». Il ne dit rien, mais son regard regarde l’image. Je lui dis : « Voyez ces plaies, et cette main qui vous invite et semble dire : Viens à moi ! ».. Pas un mot. Ensuite je lui dis : « Eh bien, si la majorité du peuple français demande le Sacré-Cœur sur le drapeau, leur refuserez-vous ? »

- Ah ! peut-être que non alors, on accepte toujours les pétitions.

- Alors, vous me promettez de ne pas y mettre obstacle, et vous allez proposer la chose à la Chambre.

- Oui, demain, je leur dirai ce que vous m’avez dit.

Je lui dis en peu de mots que Dieu était bon de vouloir le prévenir ; s’il ne se convertissait pas, que des châtiments lui étaient réservés. Il m’écoute et il dit : « Eh ! vous, qui êtes une bonne catholique, priez toujours, je ne vous le défends pas ».

Il ajoute : « Et vous êtes venue à Paris exprès pour me dire cela ? » - Oui, M. le Président, chaque jour, j’ai été prier le Sacré-Cœur à Montmartre pour la France et pour vous. Je prie Dieu de vous éclairer de sa grâce. J’aime la France, et c’est pour son honneur et son droit que Dieu m’envoie accomplir près de vous cette mission.

Le Président ensuite me demande d’où je suis : il paraissait bien ne pas l’ignorer. Je lui ai dit : « Je suis Poitevine et sur les bords de la Vendée ».

- Vous êtes d’une famille honorable ; vous avez quelqu’un à la guerre ?

- J’ai deux frères : l’un prisonnier, et l’autre sur le front.

- Allez-vous retourner dans votre famille ?

- Est-ce que vous désirez que je reste à Paris, M. le Président ?

- Non, vous pouvez retourner maintenant, vous avez fait votre devoir en noble Française.

- Et vous, M. le Président, vous tiendrez votre parole de n’être pas un obstacle à l’œuvre du Sacré-Cœur ?

- Et Dieu m’aimera encore davantage ?

- Oh ! oui, et beaucoup plus.

L’audience était terminée, elle avait duré 20 minutes.

En sortant, Claire put dire au Marquis de Baudry d’Asson :

« J’ai tout osé dire ; j’en suis bien heureuse. Le Président a été bien aimable ».

Ce n’était pas suffisant. M. Poincaré n’eut pas le courage de tenir parole ; c’est ce qui occasionna la seconde lettre de Claire :

1er mai 1917

Monsieur le Président,

Envoyée par le bon Dieu, j’ai l’honneur de faire sa petite commissionnaire près du Chef de l’État qui, malgré les appels réitérés de la grâce divine, ferme les oreilles à cette voix qui se fait entendre dans le fond de son âme.

Monsieur le Président, quand j’ai eu l’honneur d’être introduite à votre bureau, nous avons discuté sur le devoir que la France a envers Dieu, en accomplissant les désirs de son Cœur, en gravant sur les trois couleurs nationales l’emblème religieux que vous connaissez. Vous m’aviez promis de proposer à la Chambre ce que, de la part du Ciel, j’étais venue vous faire connaître. Avez-vous accompli votre promesse que je vous fis répéter par trois fois ? J’en doute beaucoup ; même n’auriez-vous pas ri de cette proposition après mon départ ? Dieu a été témoin de l’entrevue ; Il a entendu vos réponses à ses demandes que j’ai eu l’honneur de vous faire connaître. Serez-vous franc devant Dieu et devant la simplicité d’une humble fille qui n’a en vue que le salut de sa chère France. Vous avez peur des moqueries qui accompagneront vos déclarations ; vous avez peur des hommes qui ne sont que des lâches et des poltrons, et vous n’avez pas peur de Dieu qui a son éternité pour punir.

Monsieur le Président, croyez que ce n’est pas pour rire que le bon Dieu se met en peine de s’abaisser jusqu’à sa pauvre créature si ingrate et de lui commander de revenir à la pratique du devoir, si elle ne veut pas attirer sur elle les châtiments de la colère divine.

Nous sommes à une heure très grave. Vous êtes, Monsieur le Président, à la tête de cette nation française si aimée du Christ et si coupable dans ses lois, la France qui est appelée la Fille aînée de l’Église et qui est la seule qui n’est pas représentée devant le Souverain Pontife.

La France, royaume de prédilection, l’aimez-vous véritablement ? Vous êtes Français, l’êtes-vous par le cœur ? Ah ! pauvre France qui baigne dans le sang de ses enfants et dont le cœur va être étouffé par d’ignobles mains criminelles qui prétendent la ruiner par d’infâmes trahisons. La Franc-Maçonnerie veut la perte de la religion catholique ; elle veut sa perte à tout point de vue. Mais, du haut du Ciel, le Sacré-Cœur veille sur son royaume ; Il prend en pitié l’innocence de tant de généreuses victimes qui ont versé leur sang pour la Patrie. Puisse-t-elle être enfin délivrée des ennemis, de l’envahisseur teuton et aussi des B... de l’intérieur, qui pervertissent notre cher pays.

Monsieur le Président, je ne dois pas accomplir à demi la mission que Dieu me confie. Son Cœur est profondément triste. Le jour du 16 mars 1917, Il me dit : « La France me tue ; mais malheur à ceux qui ne se convertiront pas ! ». Puis sa voix devenue plus grave, Il parle fort et Jésus dit : « Le peuple de France est à deux doigts de sa perte. Le traître vit au cœur de la France. C’est la Franc-Maçonnerie qui, pour obtenir la perte éternelle de ce pays, d’accord avec l’Allemagne, a engendré cette guerre. Les trahisons se poursuivent, et si quelqu’un pouvait pénétrer à l’intérieur de plusieurs cabines, il y découvrirait les pièges ». Dieu ajoute : « Sans moi, la France serait perdue ; mais mon amour qui veut la vie de cette France, arrête le fil électrique qui communique à l’ennemi le secret de la France. La Franc-Maçonnerie sera vaincue, de terribles châtiments fondront sur elle. Mais je demande au brave petit soldat de France, jusqu’aux généraux qui sont aux armées, de déployer le drapeau du Sacré-Cœur, malgré la défense formelle qu’on fera autour d’eux ; et que tous, généraux, officiers et simples soldats, aillent de l’avant ! Je leur promets la victoire ! La secte franc-maçonnique, le gouvernement actuel seront châtiés ; on découvrira tous leurs engins ; plusieurs seront mis à mort ».

Et là, Notre-Seigneur me fit voir la France régénérée dans la foi, et Il dit : « Oh ! la France, comme elle sera belle un jour ! Non, Satan aura beau faire, jamais la France ne lui appartiendra ! »

À vous, Monsieur le Président, de tomber à genoux et de demander pardon à Dieu, toujours plein d’amour et de miséricorde.

Que la France soit enfin délivrée par le règne du Sacré-Cœur, malgré la rage de Satan et de ses suppôts.

« Vive le Christ qui aime les Francs ! »

J’ai l’honneur de vous saluer avec respect.

Claire de Jésus Crucifié

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Notes :

(1) “Défense du Foyer”, n. 134, mai 1972.

(2)  Sans l’intervention providentielle, la France aurait connu en 1917 le sort de la Russie livrée à la Révolution.

(3)  Cet ordre de Notre-Seigneur se manifesta spécialement les 26 novembre et 16 décembre 1916 :

“Les temps sont mauvais sur la terre ; les cœurs sont broyés parfois, mais même sans l’épreuve, on continue à m’outrager. Le mal se rallume dans les âmes, et c’est la France qui ouvre dans mon Cœur cette blessure d’où s’échappent des flots de sang. Je veux tenter un dernier effort; mon amour surpasse toute mesure : J’aime tant la France ; Je veux la sauver. En mon nom, je te commande d’écrire au Chef de ceux qui vous gouvernent. L’image de mon Cœur qui doit se faire doit sauver la France. C’est à eux que tu l’enverras. Si on la respecte, c’est le salut ; mais si on la foule aux pieds, ce sont les malédictions du Ciel qui tombent et écrasent tout le peuple. Va droit à ceux qui vous gouvernent. Si tu savais comme la conscience de ces gens-là est agitée. Je remue leurs cœurs, à toi maintenant de me faire connaitre. La chose te parait grave, mais obéis ; c’est le salut de ta Patrie” (26 nov 1916).

“Les gouvernants sentent que Dieu seul peut les sauver. Mais lâches qu’ils sont, ils vivent chacun dans leur milieu, cachant ces pensées au fond de leur cœur. C’est pourquoi tu vas écrire au Président lui montrant son devoir à la tête d’une puissance, devoir vis-à-vis de Dieu d’abord, devoir sur lequel tout le peuple doit se former. S’il ne se soumet pas à ce que Je lui adresse par toi, de grands malheurs menacent sa personne et ses droits. Au contraire si, par lui, Je suis gravé sur le drapeau français, dès le lendemain, il poursuivra l’ennemi qui fuira en désordre et le rejettera au-delà de la frontière. En peu de temps, c’est la paix pour toutes les nations” (16 dec 1916).

On remarquera que la mission de Claire Ferchaud sur le plan national se termine par un vœu :

« Que la France soit enfin délivrée par le règne du Sacré-Cœur, malgré la rage de Satan et de ses suppôts. »

Et par le cri de reconnaissance qui termine notre vieille loi salique :

« Vive le Christ qui aime les Francs ! »

Ceux qui connaissent l’importance des dates dans les desseins de Dieu remarqueront les coïncidences :

En 1917, à Rome, la Franc-Maçonnerie fêtait son 2ème centenaire et, sous les fenêtres du Vatican, insultait le Pape et déployait l’étendard de Lucifer foulant saint Michel sous ses pieds avec cette inscription :

« Satan doit régner au Vatican, le Pape sera son esclave ».

Au Portugal, les révolutions se succèdent, la Franc-Maçonnerie règne en maitresse persécutant les catholiques.

En France, la Franc-Maçonnerie avec l’aide de ministres (Malvy) et d’hommes à la solde de l’Allemagne (Bolo Almereyda avec le Bonnet Rouge) préparent la défaite de la France. On ne peut qu’être très frappé par la triple intervention du Ciel :

- Le Portugal sauvé de la révolution par le grand miracle de Fatima (13 octobre).

- À Rome, 4 jours après (17 octobre), fondation par le Père Kolbe de la Milice de l’Immaculée (comportant la lutte contre la Franc-Maçonnerie pour protéger le Pape et l’Église).

- De son côté, la France était sauvée du désastre en cette même année par l’intervention du Sacré-Cœur. Les traîtres étaient arrêtés et l’armistice intervenait le 11 novembre 1918 (fête de saint Martin).

Claire Ferchaud a toujours regardé la guerre de 1940, la guerre d’Algérie et les autres comme la continuation de la guerre de 1914 : pas de paix, seulement des trêves. Et le monde dans un chaos toujours plus profond.

Les années que nous vivons voient se poursuivre une lutte implacable de la Cité sans Dieu, matérialiste et athée, contre la Cité de Dieu. L’Église persécutée est empêchée d’accomplir son œuvre de paix.

Ce sont des « faits ». Au moment où la Franc-Maçonnerie, totalement maîtresse de tous les rouages de l’État, de la presse, de la Radio, des écoles et universités, annonce qu’elle se « désocculte » pour proposer son « idéal » à la jeunesse, nous devons méditer ces faits.

Il est temps pour les catholiques, avec l’aide de Notre-Dame, de se réveiller, de rétablir leur unité dans l’Église autour du Pape.

Seule, la conversion nous sauvera ! Tous les événements confirment les avertissements de 1917, celui de Notre-Dame et celui du Sacré-Cœur.

 

 

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